Une nouvelle étude a montré que l'espérance de vie d'une personne dépend de son mode de vie, de son alimentation et de son état émotionnel et psychologique. Des scientifiques ont développé un système d'analyse spécifique permettant d'évaluer la résilience de l'organisme et de prédire son espérance de vie potentielle.
L'indicateur clé s'est avéré être le facteur dit de l'état dynamique de l'organisme. Au cours de la vie, ce facteur diminue progressivement, atteignant un niveau critique vers 150 ans. En mesurant le niveau de cet indicateur, il est possible d'estimer la quantité de « ressources » restantes dans le corps humain.
Sur la base des données obtenues, les chercheurs ont conclu que le potentiel biologique de l'être humain se situe autour de 150 ans. Cela ne signifie pas que tout le monde vit jusqu'à cet âge limite, mais cela indique la limite de survie de l'organisme dans des conditions optimales.
Les scientifiques soulignent que le maintien d’un mode de vie sain, d’une alimentation équilibrée et d’un confort psychologique peut ralentir considérablement le déclin du facteur dynamique et prolonger la qualité de vie.