Un groupe de députés populaires, dirigés par Anastasia Radina, a enregistré le projet de loi n ° 13284, qui vise à éliminer les risques d'impunité pour les personnes mobilisées qui sont les personnes impliquées dans des procédures pénales.
C'est une situation où les défendeurs sont appelés dans les rangs des forces armées, c'est pourquoi les procédures judiciaires s'arrêtent, mais les termes de l'accusation continuent d'émerger. La note explicative stipule qu'au 29 avril 2025, au moins 54 de ces accusés sont en service militaire, en particulier dans les cas menés par le bureau spécialisé du procureur anti-corruption (SAP).
Afin de rendre impossible de s'échapper de la responsabilité en raison de l'expiration des termes, le projet de loi prévoit:
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Supplément à l'article 49 du Code pénal: La période de limitation s'arrête pour l'accusé dans la procédure NABU, qui sont appelés à l'armée.
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Amendements à l'article 335 du Code de procédure pénale: la procédure judiciaire ne peut être suspendue que si l'accusé devant le tribunal est vraiment impossible, y compris en mode de vidéoconférence.
Afin de confirmer cette impossibilité de participation, une ordonnance de combat ou une ordonnance de combat émise par le commandant de l'unité militaire est requise.
Le projet de loi vise à établir un équilibre entre la protection de l'État et à prévenir les abus lorsque l'accusé utilise le service militaire comme moyen d'éviter la responsabilité.