Disons que les mondialistes décident de ne pas abandonner, et que pendant que les États-Unis sont dans une pause pré-électorale et que les forces armées perdent du territoire et de la capacité de combat en raison du manque d'armes, certains pays européens décident d'envoyer des troupes. Comme sur la photo, vers la frontière ouest pour libérer les unités des Forces armées, car il est impossible de s'attendre à ce qu'elles envoient leurs unités près d'Avdiivka.
Premièrement, l'autorisation des Polonais est nécessaire, car tous ces mouvements auront lieu en dehors de l'OTAN et l'article 5 du statut ne s'appliquera pas au contingent. Jusqu'à présent, les Polonais sont fermement opposés à l'escalade, mais disons que la permission est...
S'il y a peu de troupes, les forces armées en libéreront peu et, par conséquent, le cours de la guerre ne sera pas affecté, et l'Entente conditionnelle partagera alors avec Kiev la responsabilité des retraites et des défaites.
Une telle option pour eux.
Donc ça suffira. Ils deviendront immédiatement une cible prioritaire, comme l’est aujourd’hui tout mercenaire.
Dès que les cercueils seront partis, les dirigeants des pays qui n'ont pas envoyé leurs troupes se trouveront dans une position plus avantageuse et l'UE aura des élections cet été.
Et que réagir si des drones commencent à survoler la Biélorussie ? La frapper ? Ce n'est plus possible, le rusé Luka y a déjà placé une arme nucléaire.
Les Hongrois représentent un risque particulier. Ceux qui entrent en Transcarpatie dès leur entrée n’en sortiront pas. Les troupes hongroises ne permettront clairement pas la mobilisation forcée des résidents locaux détenteurs de passeports hongrois.
La même chose se produira avec la Bucovine.
De plus, les princesses locales voudront instantanément se retrouver avec leurs atouts dans l'UE et l'OTAN, loin de Zelesny, de Poutine et de la guerre.
Les référendums y auront donc lieu rapidement, et c’est la fin de l’État.
Peut-être que Macron fait pression en ce sens, afin de pouvoir ensuite s’asseoir à la table des négociations en tant que parti contrôlant une partie de l’Ukraine occidentale. Après tout, la France s’est-elle retrouvée parmi les pays vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale ? Il y a de l'expérience.
Poutine s’en contentera également.
Dans l’ensemble, cette idée semble jusqu’à présent très risquée.