Donald Trump, le candidat probable au poste de président des États-Unis issu du Parti républicain, envisage de nommer le lieutenant-général à la retraite Keith Kellogg comme représentant spécial pour l'Ukraine s'il revient au pouvoir. C'est ce qu'a rapporté l' Reuters en référence à ses propres sources.
La presse a rapporté en juin que l'essence de son plan était de mettre fin aux hostilités en les gelant le long de la ligne de front et de forcer Kiev et Moscou à négocier.
Kellogg, 80 ans, était chef de cabinet du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche pendant la première présidence de Trump.
Un autre candidat au poste d’envoyé spécial pour l’Ukraine est Richard Grenell, ancien directeur par intérim du renseignement national sous Trump. Certaines sources le qualifient de favori.
En juillet, Grenell a préconisé la création de « zones autonomes » pour mettre fin à la guerre, le refus de l'Ukraine d'adhérer à l'OTAN et obliger une fois de plus Kiev et Moscou à négocier pour mettre fin à la guerre le plus rapidement possible en réduisant ou en augmentant l'aide militaire à l'Ukraine.