Dans le monde des médias et du show business, des phénomènes aussi ambigus que l'émission "Investigation by Psychics" se produisent rarement. Le programme, qui combinait des éléments d’enquête policière et d’ésotérisme, n’a laissé ni les téléspectateurs ni les critiques indifférents.
L'ancienne rédactrice en chef de l'émission populaire "Enquêtes des médiums" Lelya Boravlyova est devenue une figure qui a attiré l'attention grâce à ses déclarations provocatrices sur la réalité et la validité de l'émission. Dans une interview, Boravlyova a partagé son point de vue sur les médiums et leur rôle dans la série.
Boravlyova confirme que « l'enquête menée par des médiums » montre en réalité des histoires réelles de personnes, mais souligne immédiatement que tous les médiums apparus à l'écran sont des « charlatans ». Elle estime que ces gens utilisent leur publicité pour gagner de l'argent, en offrant des « amulettes » et des « protections » contre la guerre, ce qui, à son avis, est tout simplement absurde.
"Les médiums sont des charlatans. Aujourd'hui, ils gagnent de l'argent avec la guerre et disent : "Nous allons vous fabriquer une amulette, une protection au front". Cela ne vous dépasse tout simplement pas", a déclaré Boravlyova. Ses critiques ne se limitent pas à l'aspect financier. Elle souligne également que de nombreux médiums des médias sont devenus millionnaires grâce à leur popularité et aux activités qui tournent autour de leurs prétendues capacités magiques.
« Sans aucun doute, les médiums sont millionnaires. Ils ont gagné des millions, surtout ceux qui étaient des visages. Ils ont construit des maisons, fait des affaires..." a précisé Boravlyova. Ses paroles ouvrent une nouvelle perspective sur la façon dont les personnalités médiatiques peuvent utiliser leur renommée pour leur enrichissement personnel, souvent aux dépens de personnes crédules qui croient en leurs capacités.
Ainsi, selon Lela Boravlyova, l'émission « Enquêtes menées par des médiums » n'est pas seulement un divertissement, mais fait partie d'une grande industrie, où satisfaire les besoins du public devient un motif de profit. Ce scandale fera certainement réfléchir beaucoup sur le véritable coût des phénomènes médiatiques et sur la confiance dont jouissent les médiums.