Un étudiant de 23 ans qui a fait appel auprès du tribunal administratif du district de Lviv en exigeant d'obtenir un procès et d'interdire au TCC de l'enrôler dans l'armée, n'a pas reçu de décision positive.
L'essence du problème
Le jeune homme a fait appel du refus du TCC de lui accorder un sursis du service militaire en raison d'études à temps plein. Devant le tribunal, il a affirmé qu'il avait légalement droit à un report conformément à la loi « sur la mobilisation, la formation et la mobilisation ». Cependant, le TCC a rejeté sa demande, citant le fait que, selon les données de la Base de données électronique d'État unifiée sur l'éducation (EDEB), l'étudiant a violé la procédure d'obtention d'une éducation, qui ne répondait pas aux exigences de la loi.
Action en justice
L'étudiant a fait appel au tribunal en exigeant de corriger les informations contenues dans l'EDEBO et de confirmer que ses études ne contredisent pas les exigences de la loi « sur l'éducation ». Il a également demandé au tribunal d'interdire au TCC de prendre des mesures visant à l'enrôler dans l'armée, en attendant une décision sur son procès. Dans le même temps, il a indiqué qu'il disposait d'une convocation pour le 11 novembre 2024 et a exprimé ses craintes d'une conscription forcée au service militaire, qui pourrait violer ses droits.
Décision de justice
Le tribunal a examiné la demande de l'étudiant et est arrivé à la conclusion qu'il n'avait pas prouvé la violation de ses droits ni l'illégalité des actions du TCC. Le tribunal a noté que la procédure de mobilisation est clairement réglementée par la loi et que l'existence d'une assignation à comparaître ne constitue pas une base suffisante pour l'application de mesures coercitives. En conséquence, le tribunal a refusé d'accéder à la demande de l'étudiant visant à garantir sa créance.