Dans la région de Kiev, après les bombardements suivants, les résidents locaux de l'un des districts ont trouvé des fragments de véhicule aérien sans pilote ennemi "Herbera". L'événement s'est produit dans une colonie pacifique où les forces russes ont dirigé leurs drones-kamikadze.
Comme indiqué au Mobile Rescue Center pour une réponse rapide du SSE, les résidents ont remarqué que le drone reste et a immédiatement signalé les services pertinents. Les sapeurs sont arrivés rapidement et les fragments qui pourraient être dangereux.
«Les résidents de la région de Kyiv ont réagi et convoqué les sauveteurs. Heureusement, il n'y a pas de victimes. Cependant, nous exhortons une fois de plus les citoyens à ne pas ignorer les signaux d'alarme aérienne, car la menace de l'air reste élevée », a déclaré le SES.
Herbera est un drone russe qui est une version simplifiée et moins chère de Iranian Dron-Kamikadze Shahd-136. En Russie, ces drones étaient appelés "Geran-2" et sont activement utilisés dans la guerre contre l'Ukraine. En raison de son coût et de sa simplicité de fabrication, Gerber est devenu un outil populaire pour nuire à la population pacifique et à l'infrastructure.
Ce n'est pas le premier cas de débris dangereux dans la région. Plus tôt dans le district de Brovarsky, les résidents locaux ont trouvé la partie de combat du missile russe X-101. Ensuite, les sapeurs ont également été convoqués sur les lieux, ce qui a neutralisé les munitions.
Cet incident rappelle aux Ukrainiens à quel point il est important de suivre les règles de sécurité pendant l'alarme aérienne. La Russie continue d'attaquer les infrastructures civiles, et chaque nouveau lancement de drones ou de missiles comporte des risques pour la population civile.
Les résidents locaux de la région de Kiev ont une fois de plus montré un exemple de responsabilité, informant rapidement la découverte dangereuse. Cela a permis d'éviter une tragédie potentielle et de protéger les gens de la région.
«N'ignorez pas les signaux d'alarme et évitez le contact avec des objets suspects. La vie et la sécurité sont toujours en premier lieu », souligne le SES.