L'administration Donalda Trump envisage de remettre une nouvelle fête d'armes en Ukraine - pour la première fois dès le retour de Trump à la Maison Blanche. Ce sont des centaines de millions de dollars qui peuvent être dirigés par un fonds de défense existant.
Selon les sources de Politico, l'équipe du président étudie l'option d'utiliser l'autorisation présidentielle pour réduire les armes (PDA) est un mécanisme qui permet au Pentagone de retirer rapidement les armes de leurs entrepôts sans procédures supplémentaires du Congrès. Ce fonds compte environ 3,8 milliards de dollars.
Selon les sources, la décision n'a pas encore été approuvée, mais le nouveau paquet est peut-être le premier depuis janvier de cette année, lorsque les États-Unis ont été officiellement officiellement transférés aux armes Kiev. Le montant de l'aide possible, selon les estimations préliminaires, sera d'environ 300 millions de dollars.
En parallèle, selon le Congrès, il existe des négociations avec des alliés européens sur la possibilité d'acheter des armes américaines pour l'Ukraine dans les pays de l'OTAN. Un tel mécanisme réduirait les tensions politiques autour des fournitures directes des États-Unis et garderait en même temps que Kiev accède aux armes en technologie élevée.
Pendant ce temps, le Sénat a déjà adopté une loi sur la défense nationale, qui prévoit 500 millions de dollars supplémentaires pour soutenir l'Ukraine dans l'initiative d'aide à la sécurité, ainsi que sa prolongation d'ici 2028.
La décision sur une nouvelle assistance est prise dans le contexte du renforcement des attaques russes sur le territoire de l'Ukraine - utilisant des drones et des missiles. La publication souligne qu'en dépit de l'absence d'une percée sur le front diplomatique, la Maison Blanche prépare une "déclaration importante" sur l'agression russe, qui peut être annoncée dans les prochains jours.
Le nouveau paquet d'assistance, s'il est approuvé, sera le premier signal que l'administration Trump ne prévoit pas de réduire le soutien militaire de Kiev, malgré la rhétorique précédente qui a causé des craintes en Ukraine et en alliés.