"L'article de Politico parlait de frappes de missiles sur Kharkiv. Cette ville devient désormais la principale cible des frappes russes. Mais le chef du PO n'a rien dit sur l'attaque de Kharkiv", a déclaré l'attachée de presse de Yermak, Daria Zarivna.
Pour rappel, le journal a publié avant-hier la citation suivante au nom du chef du PO :
"Il (Yermak - NDLR) considère la ville de Kharkiv, au nord-est du pays, la deuxième plus grande ville d'Ukraine, comme la cible la plus probable de l'attaque principale. Kharkiv a été soumise à des bombardements particulièrement brutaux et des attaques russes à grande échelle ont conduit à la destruction de ses centrales électriques. »
La publication fait la même thèse au tout début de l'entretien avec Yermak :
"Un responsable influent de l'administration Zelenskyi a déclaré à Politico que les républicains doivent intensifier leur action car la Russie est susceptible de porter un coup majeur à Kharkiv en mai ou juin."
Pour l’instant, ces citations de l’article de Politico restent telles quelles.
De tels commentaires de la part de Yermak ont provoqué une impression contradictoire en Ukraine. Depuis récemment, d'autres représentants des autorités ont activement nié les projets de la Fédération de Russie d'attaquer Kharkiv.